Première dame de Côte d’Ivoire

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Réunion des Premières Dames à Addis-Abeba

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En marge de la 29ème  Assemblée générale de l’Union Africaine à Addis-Abeba, comme à l’accoutumée, les épouses des chefs d’Etats se sont retrouvées pour la 19ème  assemblée générale ordinaire de l’Organisation des Premières Dames d’Afrique contre le VIH/SIDA (OPDAS). Pendant 48h, les Premières Dames ont mené des réflexions autour du thème : « S’appuyer sur 15 ans d’engagement pour exploiter le dividende démographique de l’Afrique en faisant la promotion des besoins des adolescents et de leur accès à des services de santé adaptés aux jeunes ! »

Ce mardi 4 juillet 2017, l’OPDAS a organisé deux sessions d’échanges. Un premier dialogue des Premières Dames et partenaires sur le thème : « L’accès des adolescents à l’information et aux services en matière de santé sexuelle et reproductive est-il la responsabilité des dirigeants de la santé et l’éducation ou bien des dirigeants familiaux et communautaires ? » et un second dialogue cette fois, sur le thème : « Quel est le rôle des Premières Dames africaines dans la facilitation des investissements dans la santé des secteurs privés ?». C’est sur cette seconde thématique que Madame Dominique Ouattara, Première Dame de Côte d’Ivoire a partagé son expérience, non seulement entant que Première Dame engagée depuis des décennies pour l’amélioration des soins de santé de ses concitoyens, mais aussi, entant qu’Ambassadeur spécial de l’ONUSIDA. « Il s’agit à travers ces échanges, de susciter davantage notre implication dans la promotion des investissements du secteur privé pour la santé de  nos populations.

Aussi, notre engagement commun devrait-il aboutir à la mise en place de politiques et de stratégies basées sur un partenariat public-privé, en vue de lutter efficacement contre la pandémie du VIH/sida », a expliqué la Première Dame de Côte d’Ivoire, avant de plaider en ces termes : « (…) l’ONUSIDA a lancé l’objectif 90-90-90, pour l’éradication du VIH/sida, d’ici à 2020. Toutefois, cette problématique du VIH/sida dans nos pays est si complexe, qu’il est impératif de rechercher de nouvelles ressources pour atteindre cet objectif. Dans cette optique, notre rôle en tant que Premières Dames est de conduire des plaidoyers, pour contribuer à la mobilisation de ressources matérielles, financières et humaines tant aux niveaux national qu’international, afin d’appuyer nos gouvernements. De cette façon, ces plaidoyers auprès de partenaires privés permettront de mieux équiper nos hôpitaux et centre de santé, en matériel moderne et adéquat ». 

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