Les festivités liées à la 41ème édition de la Journée Internationale de la Femme se sont déroulées, le jeudi 08 mars 2018, à l’Eden Golf Hôtel.
Placées sous le parrainage de Madame Dominique Ouattara, cette cérémonie a enregistré la participation de plusieurs personnalités dont Madame Henriette Dagri Diabaté, Grande Chancelière de l’Ordre National, Madame Clarisse Duncan, épouse du Vice-Président, Madame Henriette Konan Bédié, Madame Mariatou Koné, Ministre de la Femme, de la protection de l’enfant et de la solidarité et bien d’autres ministres et personnalités des organismes des Nations Unies.
Cette année, la journée internationale de la femme a été placée sous le thème : «inclusion financière pour l’autonomisation de la femme et de la jeune fille en milieu rural ».
Comme chaque édition de la journée internationale de la femme, la marraine a effectué le déplacement les mains remplis de cadeaux pour ses sœurs.
En effet, Madame Dominique Ouattara a offert des dons en nature et en espèce d’une valeur de 108.900.000 F CFA aux femmes de divers domaines d’activités et aux populations présentes. Elle a mis à la disposition des femmes de Cocody, un montant additionnel du FAFCI de 150 millions F CFA. Ce montant additionnel fait passer l’enveloppe mis à la disposition de la commune du Maire N’Gouan Aka Mathias à 300 millions F CFA.
Un thème d’actualité et qui colle avec les actions de la Première Dame dans le cadre du Fonds d’Appui aux Femmes de Côte d’Ivoire (FAFCI) pour l’autonomisation des femmes. Ainsi, l’épouse du chef de l’Etat a profité de cette tribune pour donner son avis pour la réalisation de l’objectif de l’autonomisation de la femme et de la jeune fille en milieu rural. « (…) Il est impératif d’inviter tous les partenaires, tant du secteur public que du privé, à fédérer leurs efforts, afin de faciliter l’inclusion financière réelle des femmes, particulièrement celles du milieu rural », a-t-elle invité. Pour Madame Dominique Ouattara, donner accès au financement à nos sœurs, quelle que soit leur situation géographique, ne peut que favoriser l’amélioration de la qualité de vie de leurs familles. « Celles-ci auront alors, la possibilité d’accéder aux services de santé, à l’éducation des enfants, ainsi qu’à un logement décent. L’inclusion financière des femmes en milieu rural constitue donc, un enjeu socio-économique majeur, dont il faut tenir compte dans les stratégies de développement de nos pays », a-t-elle soutenu. Aussi, citant l’exemple du FAFCI, elle a soutenu que ce programme de financement de micro-projets des femmes a été mis en place justement pour faciliter l’inclusion financière de ces dernières.