Campagne présidentielle 2015

Les femmes commerçantes et du vivrier  de Côte d’Ivoire ont décidé d’accorder leur suffrage au Dr Alassane Ouattara, candidat unique du Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP) lors du scrutin présidentiel du 25 octobre 2015.  Elles ont exprimé ce choix de raison et du cœur en unisson, le  jeudi 22 octobre 2015 dans le jardin du Palais de la Culture de Treichville, lors de la cérémonie de reconnaissance qu’elles ont organisée en honneur de Madame  Dominique Ouattara, Première Dame de Côte d’Ivoire.   A cette occasion, Madame Dominique Ouattara avait à ses côtés Madame Henriette Bédié, Présidente de l’ONG Servir, Madame Kandia Camara, Ministre de l’Education Nationale et de l’Enseignement Technique, Madame Affoussiata Bamba-Lamine, Ministre de la Communication et Cissé Ibrahima Bacongo, Ministre de la Fonction Publique et de la Réforme Administrative.  

En chantant et en dansant au rythme des chansons en vogue, les milliers de femmes  qui ont pris d’assaut le Palais de la Culture à cette occasion ont rassuré l’épouse du candidat Alassane Ouattara de leur détermination de le porter à nouveau à la tête du pays. Et ce, dès le premier tour de l’élection présidentielle.

A cet effet, la Première Dame,  Dominique Ouattara a mis les femmes en ordre de bataille pour la réélection du candidat Alassane Ouattara. Selon l’épouse du chef de l’Etat, candidat à sa réélection,  Alassane Ouattara a le meilleur profil pour répondre aux problèmes des femmes. A ce sujet, elle a été sans équivoque. «(…) En 2010, vous aviez choisi le candidat Alassane Ouattara, car c’était celui répondait au mieux à vos attentes. (…) Oui, vous avez raison, le candidat des femmes s’appelle Alassane Ouattara. C’est lui notre héros, notre champion, l’homme qu’il faut suivre », a recommandé Madame Dominique Ouattara. Pour Madame Dominique Ouattara, les raisons de ce choix  trouvent leur fondement dans les réformes entreprises par le chef de l’Etat pour l’épanouissement des femmes et des populations.  Ainsi, à titre de preuve, elle a cité le Fonds d’Appui aux Femmes de Côte d’Ivoire (FAFCI) qui a permis à 100.000 femmes à travers le pays de sortir de la pauvreté,  la scolarisation à travers l’école obligatoire, la gratuité des soins,  l’emploi des jeunes à travers le projet AGIR,  la réorganisation du secteur agricole qui a conduit à la revalorisation du prix du cacao,  le déblocage des salaires des fonctionnaires et l’augmentation du SMIG.