Première dame de Côte d’Ivoire

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Lutte contre les pires formes de Travail des enfants

La Première Dame, Dominique Ouattara, Présidente du Comité National de Surveillance des actions de lutte contre la Traite, l’Exploitation et le Travail des enfants (CNS) a présidé la cérémonie d’ouverture d’un atelier de réflexion sur les actions à mener pour relever les nouveaux défis liés à l’élimination durable des pires formes de travail des enfants. La cérémonie s’est déroulée, le jeudi 11 avril 2019, au Cabinet de la Première Dame en présence de M. Abinan Kouakou Pascal, Ministre de l’Emploi et de la protection Sociale et Président du Comité Interministériel de lutte contre la Traite, l’Exploitation et le Travail des Enfants  (CIM); Madame Bakayoko Ly Ramata, Ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant et vice-Présidente du CIM, M. Yves Brahima Koné, Directeur Général du Conseil du Café-Cacao, ainsi que les représentants des industries du cacao et du chocolat et les représentants des organisations du système des Nations-Unies.

Le troisième Plan d’Action National (PAN) qui va s’étendre de 2019 à 2021  aspire à prendre en compte les nouveaux défis pour mieux répondre à la question de l’élimination des pires formes de Travail des enfants en Côte d’Ivoire. C’est en substance l’idée qui dirige les travaux de l’atelier de réflexion sur les actions à mener pour relever les nouveaux défis liés à l’élimination durable des pires formes de Travail des enfants organisé du mercredi 10 au vendredi 12 avril 2019 par le Comité National de Surveillance (CNS).

Faisant le bilan des deux premier Plan d’Action National passés, Madame Dominique Ouattara, Présidente du CNS a estimé  que beaucoup reste encore à faire pour venir à bout du phénomène du travail des enfants.  «(…) Malgré les avancées considérables enregistrées ces dernières années, grâce à la mise en œuvre des plans d’action nationaux 2012-2014 et 2015-2017, force est de constater que beaucoup d’efforts restent encore à fournir pour éradiquer ce phénomène de notre pays », a-t-elle révélé. Avant d’ajouter : « En effet, en dépit des efforts consentis par le Gouvernement et ses partenaires, certains enfants sont encore astreints au travail dans notre pays. D’autres également, sont victimes de traite transfrontalière ».

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