La conférence des Premières Dames de l’Afrique de l’Ouest et du Sahel sur le Travail des Enfants s’est achevée, ce mercredi 18 octobre 2017, au Palais des Congrès du Sofitel Hôtel Ivoire de Cocody. Pendant 48 heures, les Premières Dames de la sous-région et du Sahel appuyées par les différents experts de leur pays respectif, ont passé en revue la problématique de la violence, de la Traite, de l’Exploitation et du Travail des Enfants. Après avoir partagé leurs expérience et les difficultés auxquels sont confrontés leur pays face à ce fléau, elles ont décidé de travailler désormais en synergie afin d’éradiquer toutes les formes de violences et de pratiques susceptibles de mettre en mal les droits de l’Enfant. Une volonté qu’elles ont matérialisée à travers leur déclaration commune. Madame Dominique Ouattara, Première Dame de Côte d’Ivoire et Présidente du Comité National de Surveillance des actions de lutte contre la Traite, l’Exploitation et le Travail des Enfants (CNS) a partagé, à cet effet, sa foi pour une Afrique débarrassée de ce fléau suite à l’engagement de ces sœurs. Une foi qu’elle a partagée avec les nombreux invités à cette cérémonie de clôture.
La mobilisation des Premières Dames autour de cette cause et leur engagement mutuel matérialisé par une déclaration commune ont permis à Madame Dominique Ouattara, Première Dame de Côte d’Ivoire et Présidente du CNS de partager sa foi en un avenir meilleur pour les enfants. « La déclaration commune que nous avons signée, me porte à croire que nous sommes sur la bonne voie pour éliminer ce fléau des pays de la sous-région ouest africaine. (…) Une fois encore, nous pouvons constater que les Premières Dames d’Afrique de l’Ouest et du Sahel, sont des militantes actives et infatigables des droits de l’enfant », s’est réjouie l’initiatrice de la conférence des Premières Dames. Au-delà de l’adhésion et de l’union des épouses des chefs d’Etat de la sous-région et du Sahel que cette conférence a permis de créer, Madame Dominique Ouattara s’est également, féliciter de la collaboration de ses sœurs pour l’éradication de ce phénomène. « Cette solidarités que nous venons de montrer pendant ces assises augure d’une belle collaboration entre nos pays, pour que le travail des enfants soit complétement éliminé de nos pays d’ici 2025 », a-t-elle expliqué.