La Première Dame,  Dominique Ouattara a reçu en audience M. Michel Sidibé, Directeur Exécutif de l’ONUSIDA, le jeudi 22 novembre 2018. La rencontre a eu lieu à la résidence présidentielle de la Riviera Golf, et a enregistré la présence de M. Aka Aoulé, Ministre de la Santé.

Il s’est agi d’abord pour le Directeur Exécutif de l’ONUSIDA lors de cette rencontre,  de remettre officiellement le premier rapport de l’organisation sur le dépistage à l’épouse du chef de l’Etat en sa qualité d’Ambassadeur spécial de l’ONUSIDA. Ensuite, Madame Dominique Ouattara, Ambassadeur Spécial de l’ONUSIDA et son hôte de marque ont fait le point de la lutte contre ce fléau.

La rencontre s’est déroulée pendant une trentaine de minutes au cours de laquelle les personnalités ont pu faire le tour de la question de la lutte contre le SIDA. A l’issue de cet entretien, M. Michel Sidibé a donné les raisons de sa visite.

«C’était pour faire une revue des programmes de lutte contre le Sida en Côte d’Ivoire. C’était très intéressant de la faire en présence du Ministre de la Santé. Vous n’êtes pas sans savoir que la Première Dame est l’Ambassadeur Spécial de l’ONUSIDA pour ce combat. Elle est complètement engagée dans cette logique. Et elle voudrait qu’il n’y ait pas d’enfants qui naissent avec le SIDA en Côte d’Ivoire, mais aussi, que le traitement soit disponible pour tous ces enfants qui naissent malheureusement avec le SIDA.  Donc, c’était un peu pour remettre en place  un mécanisme qui permettrait d’aller vers ces programmes. Et de les accélérer pour atteindre ces mères qui n’ont pas encore été atteintes par nos projets. Donc avec le Ministre de la Santé, nous allons travailler ensemble dans le futur pour qu’il y ait une accélération. Mais aussi, je  pense que c’est une opportunité parce qu’on lance aujourd’hui en Côte d’Ivoire, et pour la première fois en  Afrique  de l’Ouest et du Centre, le rapport mondial de l’ONUSIDA. Ce rapport porte sur le dépistage. Comme vous le savez, nous avons 9,4 millions de femmes, d’hommes et d’enfants qui ne sont pas dépistés. Ces personnes ne savent pas si elles sont séropositives ou non. Ce rencontre nous a permis donc de lui remettre ce rapport », a expliqué M. Michel Sidibé.

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